Alors que plusieurs pays européens, Allemagne en tête, réévaluent leur engagement à interdire les moteurs thermiques d’ici 2035, la France maintient fermement le cap. Pourtant, les difficultés économiques, les retards industriels et les réalités énergétiques viennent remettre en question cette stratégie ambitieuse. Loin d’un choix éclairé, ce positionnement semble de plus en plus s’apparenter à un pari risqué.
